Tuesday, August 20, 2013

Kevin Lötscher toujours dans le flou au HC Bienne

Kevin Lötscher toujours dans le flou au HC Bienne

par Lea Huszno, Bienne - A l’essai dans le Seeland, l’attaquant valaisan - victime d’un grave accident de la route en 2011 - ne sait pas encore de quoi sera faite la saison de LNA à venir.«La situation de Kevin est à ce jour incertaine. Il s’est bien intégré, mais il éprouve encore des difficultés à évoluer sur la glace. Nous devons évaluer la situation avant de prendre une décision définitive», a expliqué Martin Steinegger, directeur sportif du club seelandais. Cédric Botter et Sebastien Sutter sont pour leur part à l’essai avec l’équipe jusqu’à la fin du mois d’août.

Le HCB a par ailleurs rappelé sa volonté de miser sur les jeunes. «Je souhaite qu’ils fassent un pas en avant et comblent les trous laissés par les récents départs. Je suis confiant. Nous travaillons bien à l’entraînement et j’ai un bon feeling avec eux», a déclaré le coach, Kevin Schläpfer.

Bientôt un nouveau repère

En ce qui concerne la nouvelle patinoire, elle sera à disposition des Biennois dès la saison 2015/2016. Quelques détails devront toutefois être réglés avant d’accéder au nouveau joyau. «Selon le nouveau règlement en vigueur, la ligue exige que la moitié du capital-actions de la société soit couvert par des réserves. Ce qui n’est actuellement pas notre cas. Nous envisageons de réduire notre capital-actions afin de satisfaire à ces garanties financière», a expliqué Andreas Blank, le président du club.

Des ondes positives

Malgré un budget annuel restreint, la vice-présidente Stéphanie Mérillat aborde la saison à venir sur un ton positif. «Tout comme ces deux dernières années, notre objectif est de nous maintenir au-dessus de la barre et on y croit très fort», a-t-elle annoncé tout sourire. Des restrictions budgétaires qui ont poussé le staff technique à changer sa stratégie de recrutement. «Nous avons essentiellement renforcé notre défense mais cette année ce sont les jeunes qui seront sur le devant de la scène», a conclu Martin Steinegger.

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